PCAIF

Théorie et Pédagogie

... La Tendance actualisante ...

Comment définir les aspects théoriques de l’approche centrée sur la personne, de cette philosophie, de cette manière de vivre, d’Être ? « Être soi, c’est peut-être le but de la vie ».

Comment parler des aspects théoriques de cette approche sans risquer d’en faire des dogmes, des techniques à appliquer ?

L’approche centrée sur la personne est une approche dans le courant humaniste, orientée pour permettre à chacun d’acquérir autodétermination et accomplissement personnel. Carl Rogers émet l’hypothèse positive de base concernant chaque être humain : la tendance actualisante. Chaque organisme vivant a le besoin vital de chercher à croître et à vivre (parfois à survivre face aux contraintes extérieures). Toute personne est mue par la volonté de s’actualiser positivement.

Comment définir les aspects théoriques de l’approche centrée sur la personne, de cette philosophie, de cette manière de vivre, d’Être ? « Être soi, c’est peut-être le but de la vie”.

Comment parler des aspects théoriques de cette approche sans risquer d’en faire des dogmes, des techniques à appliquer ?

Comment définir les aspects théoriques de l’approche centrée sur la personne, de cette philosophie, de cette manière de vivre, d’Être ? « Être soi, c’est peut-être le but de la vie”.

Comment parler des aspects théoriques de cette approche sans risquer d’en faire des dogmes, des techniques à appliquer ?

L’approche centrée sur la personne est une approche dans le courant humaniste, orientée pour permettre à chacun d’acquérir autodétermination et accomplissement personnel. 

Photo de Olga et Patrick Kauffmann Théorie et Pédagogie PCAIF

Chaque être humain traverse des épreuves plus ou moins violentes : conditionnements, blessures psychologiques, traumatismes, accidents, doutes, peurs, angoisses, qui peuvent faire naître de profonds sentiments de solitude et/ou altérer sa confiance en soi. Celles-ci ne peuvent être diminuées que si l’individu prend le risque d’être davantage lui-même face aux autres. Pour le soutenir dans son processus, le respect de ses besoins et de ses sentiments, la compréhension et le soutien bienveillant déployés par l’aidant sont essentiels. Pour Carl Rogers, la qualité de relation entre deux personnes est primordiale, en particulier dans la psychothérapie/counselling centrée sur le client. Il mettra aussi en évidence la notion de processus individuel, cheminement unique à chaque individu.

L’approche centrée sur la personne est une approche dans le courant humaniste, orientée pour permettre à chacun d’acquérir autodétermination et accomplissement personnel. 

Carl Rogers émet l’hypothèse positive de base concernant chaque être humain : la tendance actualisante. Chaque organisme vivant a le besoin vital de chercher à croître et à vivre (parfois à survivre face aux contraintes extérieures). Toute personne est mue par la volonté de s’actualiser positivement.

Chaque être humain traverse des épreuves plus ou moins violentes : conditionnements, blessures psychologiques, traumatismes, accidents, doutes, peurs, angoisses, qui peuvent faire naître de profonds sentiments de solitude et/ou altérer sa confiance en soi. Celles-ci ne peuvent être diminuées que si l’individu prend le risque d’être davantage lui-même face aux autres. Pour le soutenir dans son processus, le respect de ses besoins et de ses sentiments, la compréhension et le soutien bienveillant déployés par l’aidant sont essentiels. Pour Carl Rogers, la qualité de relation entre deux personnes est primordiale, en particulier dans la psychothérapie/counselling centrée sur le client. Il mettra aussi en évidence la notion de processus individuel, cheminement unique à chaque individu.

Carl Rogers émet l’hypothèse positive de base concernant chaque être humain : la tendance actualisante. Chaque organisme vivant a le besoin vital de chercher à croître et à vivre (parfois à survivre face aux contraintes extérieures). Toute personne est mue par la volonté de s’actualiser positivement.

Chaque être humain traverse des épreuves plus ou moins violentes : conditionnements, blessures psychologiques, traumatismes, accidents, doutes, peurs, angoisses, qui peuvent faire naître de profonds sentiments de solitude et/ou altérer sa confiance en soi. Celles-ci ne peuvent être diminuées que si l’individu prend le risque d’être davantage lui-même face aux autres. Pour le soutenir dans son processus, le respect de ses besoins et de ses sentiments, la compréhension et le soutien bienveillant déployés par l’aidant sont essentiels. Pour Carl Rogers, la qualité de relation entre deux personnes est primordiale, en particulier dans la psychothérapie/counselling centrée sur le client. Il mettra aussi en évidence la notion de processus individuel, cheminement unique à chaque individu.

... Vivre une expérience ...

Révolutionnaire à son époque, Rogers l’est encore aujourd’hui. Son impact a été considérable dans l’enseignement, car il a bousculé la vision traditionnelle de l’enseignant qui déverse son savoir sur un apprenant recevant passivement. Il a défendu l’hypothèse que l’un, l’enseignant, détenait un savoir, mais que l’autre, l’élève, se connaissait suffisamment lui-même pour se saisir de ce savoir et l’assimiler. Dans ce domaine, l’influence de Rogers a été mondiale et a modifié les rapports enseignants-enseignés, ce que même ses détracteurs ont reconnu. Il a aussi été considéré, à juste titre, comme le précurseur de la non-directivité, notamment en France. Il a œuvré toute sa vie, par ses écrits, ses enseignements, ses interventions publiques, ainsi qu’au plus haut niveau politique mondial, pour faciliter les rapports humains et la communication. Au niveau de la thérapie, il a développé une approche unique où la personne dite thérapeute ou counsellor s’efforce d’être une personne face à une autre, sans chercher d’aucune manière à avoir du pouvoir sur elle, en la considérant et en la respectant dans son altérité, sans attentes, ni chercher à l’influencer.

Le défi de la formation est que vous puissiez vivre suffisamment d’expériences pour acquérir davantage de confiance en vous, pour être et ne pas chercher à faire quelque chose.

Durant les sessions, un climat de confiance s’installe rapidement grâce aux trois attitudes : empathie, regard positif inconditionnel et congruence. Ce climat est facilité par la qualité de présence du facilitateur. Chaque participant apprivoise à son rythme ses défenses, ses différences, s’autorise à être de plus en plus lui-même, ressent de moins en moins le besoin d’utiliser ses schèmes habituels, explore des dimensions de sa construction psychique et fait l’expérience d’une autre manière de se relationner aux autres et de les rencontrer. Carl Rogers reprend l’expression de Martin Buber de « confirmer l’autre ». Si je rencontre l’autre en tant que personne, alors je peux accepter tout ce qu’il est. Son potentiel pourra s’épanouir. Confirmer est aussi faire confiance en l’autre, en sa capacité à se diriger, à s’actualiser. Ce phénomène est amplifié et démultiplié dans le groupe. Des ouvertures possibles d’agir et d’être autrement se présentent aux participants, comme si des facettes, qu’on ne connaît pas ou dont on n’est pas tout à fait conscient, qu’on n’ose pas vivre ou qu’on ne s’autorise pas à vivre pleinement, avaient la possibilité de se développer.

Dans l’approche centrée sur la personne, la tendance actualisante permet à un autre être en devenir, en chacun de nous, d’émerger et de se réaliser.  Parallèlement à ce développement, l’appétit de connaissances s’amplifie, la personne aspire à acquérir plus de savoirs dans les domaines qui lui sont propres, ce qui est nommé la tendance formative. Concernant le savoir, Chuck Devonshire nous a transmis qu’il est important d’acquérir le maximum d’expériences et de connaissances dans tous les domaines et de tout oublier afin d’être simplement soi, dans la relation face à la personne aidée. 

Groupe en formation ACP Thérapie et Pédagogie PCAIF

... Une pédagogie basée sur les piliers de l'ACP ...

Nous allons donner un éclairage à trois conditions essentielles qui sont les piliers de l’approche centrée sur la personne, soit la compréhension empathique, la congruence et le regard positif inconditionnel.  Ces conditions permettent que s’installe un climat de confiance entre  « l’aidé » et « l’aidant », vers lesquelles chaque aidant s’efforce « de tendre » pour faciliter « l’aidé », sans rechercher à appliquer un modèle ou une technique. 

La compréhension empathique est la capacité d’être à l’écoute de l’autre sans interférer dans son cheminement, le soutenant dans sa démarche introspective en reformulant d’une manière précise, concise, directe et reflétant le contenu explicite et implicite de ce qu’il exprime. Cette reformulation par l’aidant est le miroir de tout ce qu’est l’aidé à l’instant où il parle et peut également proposer une ouverture sur ce qui semble émerger.

Dans cette écoute, l’aidant se tient dans une posture d’ouverture à l’autre, comme s’il entrait dans le monde intérieur de celui-ci, mais sans jamais perdre contact avec son moi profond.  

Nous allons donner un éclairage à trois conditions essentielles qui sont les piliers de l’approche centrée sur la personne, soit la compréhension empathique, la congruence et le regard positif inconditionnel. Ces conditions permettent que s’installe un climat de confiance entre  « l’aidé » et « l’aidant », vers lesquelles chaque aidant s’efforce « de tendre » pour faciliter  « l’aidé », sans rechercher à appliquer un modèle ou une technique. 

La compréhension empathique est la capacité d’être à l’écoute de l’autre sans interférer dans son cheminement, le soutenant dans sa démarche introspective en reformulant d’une manière précise, concise, directe et reflétant le contenu explicite et implicite de ce qu’il exprime.

Nous allons donner un éclairage à trois conditions essentielles qui sont les piliers de l’approche centrée sur la personne, soit la compréhension empathique, la congruence et le regard positif inconditionnel.

Ces conditions permettent que s’installe un climat de confiance entre  « l’aidé » et « l’aidant », vers lesquelles chaque aidant s’efforce « de tendre » pour faciliter  « l’aidé », sans rechercher à appliquer un modèle ou une technique. 

Nous allons donner un éclairage à trois conditions essentielles qui sont les piliers de l’approche centrée sur la personne, soit la compréhension empathique, la congruence et le regard positif inconditionnel.Ces conditions permettent que s’installe un climat de confiance entre « l’aidé » et « l’aidant », vers lesquelles chaque aidant s’efforce « de tendre » pour faciliter « l’aidé », sans rechercher à appliquer un modèle ou une technique. 

La compréhension empathique est la capacité d’être à l’écoute de l’autre sans interférer dans son cheminement, le soutenant dans sa démarche introspective en reformulant d’une manière précise, concise, directe et reflétant le contenu explicite et implicite de ce qu’il exprime. Cette reformulation par l’aidant est le miroir de tout ce qu’est l’aidé à l’instant où il parle et peut également proposer une ouverture sur ce qui semble émerger.

La congruence est la capacité de rester avec son moi profond pour évaluer et trier ce qui appartient à l’aidant et ce qui pourrait être profitable à l’aidé, dans un mouvement continu d’évaluation interne. La congruence est cette forme d’authenticité qui nous permet dans l’instant d’exprimer sans filtre ce qui se passe en nous : émotions, sentiments, perceptions subtiles, intuitions, en nous ajustant à la personne et/ou au milieu extérieur. 

Le regard positif inconditionnel est la manière de voir la personne comme une personne en mouvement, en devenir, sans jugement de valeur, ni interprétation d’aucune sorte, juste avec une considération positive inconditionnelle de qu’elle est, sans attente. C’est avoir sur l’autre un regard neuf d’instant en instant, c’est l’accepter dans son processus.

Cette reformulation par l’aidant est le miroir de tout ce qu’est l’aidé à l’instant où il parle et peut également proposer une ouverture sur ce qui semble émerger. Dans cette écoute, l’aidant se tient dans une posture d’ouverture à l’autre, comme s’il entrait dans le monde intérieur de celui-ci, mais sans jamais perdre contact avec son moi profond. 

La congruence est la capacité de rester avec son moi profond pour évaluer et trier ce qui appartient à l’aidant et ce qui pourrait être profitable à l’aidé, dans un mouvement continu d’évaluation interne. La congruence est cette forme d’authenticité qui nous permet dans l’instant d’exprimer sans filtre ce qui se passe en nous : émotions, sentiments, perceptions subtiles, intuitions, en nous ajustant à la personne et/ou au milieu extérieur. 

Le regard positif inconditionnel est la manière de voir la personne comme une personne en mouvement, en devenir, sans jugement de valeur, ni interprétation d’aucune sorte, juste avec une considération positive inconditionnelle de qu’elle est, sans attente. C’est avoir sur l’autre un regard neuf d’instant en instant, c’est l’accepter dans son processus.

La compréhension empathique est la capacité d’être à l’écoute de l’autre sans interférer dans son cheminement, le soutenant dans sa démarche introspective en reformulant d’une manière précise, concise, directe et reflétant le contenu explicite et implicite de ce qu’il exprime.Cette reformulation par l’aidant est le miroir de tout ce qu’est l’aidé à l’instant où il parle et peut également proposer une ouverture sur ce qui semble émerger. Dans cette écoute, l’aidant se tient dans une posture d’ouverture à l’autre, comme s’il entrait dans le monde intérieur de celui-ci, mais sans jamais perdre contact avec son moi profond. 

La congruence est la capacité de rester avec son moi profond pour évaluer et trier ce qui appartient à l’aidant et ce qui pourrait être profitable à l’aidé, dans un mouvement continu d’évaluation interne. La congruence est cette forme d’authenticité qui nous permet dans l’instant d’exprimer sans filtre ce qui se passe en nous : émotions, sentiments, perceptions subtiles, intuitions, en nous ajustant à la personne et/ou au milieu extérieur. 

Le regard positif inconditionnel est la manière de voir la personne comme une personne en mouvement, en devenir, sans jugement de valeur, ni interprétation d’aucune sorte, juste avec une considération positive inconditionnelle de qu’elle est, sans attente. C’est avoir sur l’autre un regard neuf d’instant en instant, c’est l’accepter dans son processus.

Dans cette écoute, l’aidant se tient dans une posture d’ouverture à l’autre, comme s’il entrait dans le monde intérieur de celui-ci, mais sans jamais perdre contact avec son moi profond. 

La congruence est la capacité de rester avec son moi profond pour évaluer et trier ce qui appartient à l’aidant et ce qui pourrait être profitable à l’aidé, dans un mouvement continu d’évaluation interne. La congruence est cette forme d’authenticité qui nous permet dans l’instant d’exprimer sans filtre ce qui se passe en nous : émotions, sentiments, perceptions subtiles, intuitions, en nous ajustant à la personne et/ou au milieu extérieur. 

Le regard positif inconditionnel est la manière de voir la personne comme une personne en mouvement, en devenir, sans jugement de valeur, ni interprétation d’aucune sorte, juste avec une considération positive inconditionnelle de qu’elle est, sans attente. C’est avoir sur l’autre un regard neuf d’instant en instant, c’est l’accepter dans son processus.

L'objectif

Voici une citation qui reflète la pédagogie que nous avons la volonté de mettre en œuvre et de développer:

« Plus je suis prêt à reconnaître ce qu’il y a de réel en moi et chez l’autre, moins j’ai le désir d’intervenir pour essayer à tout prix d’arranger les choses. C’est pourquoi je me sens de moins en moins pressé d’arranger les choses, d’imposer des buts, de façonner des individus, de les manipuler et de les pousser dans les voies que je voudrais leur voir suivre. Je suis simplement satisfait d’être moi-même et de laisser l’autre être lui-même ».

(Rogers - Le développement de la personne - 1968).

Au cours de la formation, nous aurons l’opportunité d’aborder tous les aspects théoriques qui permettront à chaque participant de s’enrichir et de se conforter dans ses propres besoins.

Scientifique et chercheur dans l’âme, Carl Rogers, tout au long de sa carrière professionnelle vérifiera et revérifiera ses hypothèses et théories pour être certain qu’elles se confirment dans toutes les situations et quelles que soient les personnes. A notre mesure, nous essayons, dans cette formation, de faciliter les participants à vivre leurs expériences, afin de poursuivre son œuvre.

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